Actualité: L'Avare
Du 14 novembre au 31 décembre 2017 au Théâtre 14
Avec : Emmanuel Dechartre, Frédérique Lazarini, Denis Laustriat, Guillaume Bienvenu, Didier Lesour, Jean-Jacques Cordival, Michel Baladi, Katia Miran, Charlotte Durand-Raucher, Cédric Colas
Du 14 novembre au 31 décembre 2017 au Théâtre 14
Avec : Emmanuel Dechartre, Frédérique Lazarini, Denis Laustriat, Guillaume Bienvenu, Didier Lesour, Jean-Jacques Cordival, Michel Baladi, Katia Miran, Charlotte Durand-Raucher, Cédric Colas
Représentations : Lundi, mercredi et jeudi à 19h, mardi, vendredi à 20h30, matinée samedi à 16h
"Un jardin. Pas les jardins de Versailles avec la féerie des eaux. Pas le jardin d’Eden, ni ceux, suspendus, de Babylone. Un jardin d’herbes amères, de mauvaises herbes où gît un trésor gardé par un dragon : « Harpadragon » tapi sur sa cassette. Dans ce jardin hanté par des ombres, balayé par des vents violents, Harpagon rôde, entouré de personnages-insectes qui se terrent, fuient sa présence, se cachent sous les mousses, comme ses personnages-animaux chers à Kafka ou plus encore à Bruno Schulz, dont Tadeusz Kantor nous a fait découvrir l’univers dans les années 70. Un bestiaire grotesque et un peu angoissant. Mais il y a aussi bien sûr de la comédie dans l’Avare, un rire à la fois jubilatoire et grinçant, d’où la nécessité d’allier la violence des passions exprimées à la farce pure, source du prodigieux comique moliéresque."
Frédérique et Henri Lazarini
Photos ci-dessus (les 4) Guillaume Rolland
"Un jardin. Pas les jardins de Versailles avec la féerie des eaux. Pas le jardin d’Eden, ni ceux, suspendus, de Babylone. Un jardin d’herbes amères, de mauvaises herbes où gît un trésor gardé par un dragon : « Harpadragon » tapi sur sa cassette. Dans ce jardin hanté par des ombres, balayé par des vents violents, Harpagon rôde, entouré de personnages-insectes qui se terrent, fuient sa présence, se cachent sous les mousses, comme ses personnages-animaux chers à Kafka ou plus encore à Bruno Schulz, dont Tadeusz Kantor nous a fait découvrir l’univers dans les années 70. Un bestiaire grotesque et un peu angoissant. Mais il y a aussi bien sûr de la comédie dans l’Avare, un rire à la fois jubilatoire et grinçant, d’où la nécessité d’allier la violence des passions exprimées à la farce pure, source du prodigieux comique moliéresque."
Frédérique et Henri Lazarini